Puis l’appât financier a fait dériver beaucoup d’Ecoles de Coaching vers le volume, au détriment de la qualité : les Coachs ont besoin de mieux connaître leurs limites et d’apprendre à collaborer avec les professions de Santé. La question des limites de compétences est devenue une question de fond dans ce métier.

Enfin, les confinements ont fait d’énormes dégâts sur le plan psychologique en rompant le lien social dans beaucoup de situations. Le burnout ou la perte de repères ont pris le dessus dans près de 60% de cerveaux…

Le Coach doit désormais se professionnaliser pour rester efficace : il doit comprendre l’homéostasie de son client avant de le coacher, pour savoir quoi travailler et avec qui collaborer éventuellement, car certains clients ont aussi besoin d’un accompagnement thérapeutique. Les troubles du comportement ou de la personnalité ne peuvent plus être ignorés : les cas d’épuisement, de dépression, de burn-out ou les psychopathologies ne sont quasiment jamais pris en compte et représentent un risque amplifié par une méthode d’accompagnement non appropriée. A cela s’ajoute les Atypismes, qu’il faut aussi prendre en compte : ils touchent désormais 25 % de la population et se développement d’année en année.

Le métier de Coach a donc besoin de se professionnaliser encore pour se mettre à jour !

Pour répondre à ce besoin croissant, nous avons alors développé une spécialisation en Coaching qui ouvre un nouveau champ autour de la psychométrie et des Neurosciences, et qui aborde tous ces sujets à travers un prisme comportemental, donc complémentaire à la psychologie et adapté au monde du travail. 

Face au constat que les coachs doivent avant tout travailler sur eux, se former en permanence et surtout connaître et respecter leurs limites de compétences pour ne pas les franchir, nous avions déjà développé en 2017 une méthode très fine d’évaluation du besoin avant de passer à l’action de coaching, ou tout simplement de formation.

Notre position est d’ailleurs confortée par une étude récente d’un syndicat de coaching qui révèle que plus de 50% des missions de business coaching sont motivées non pas par la résolution du problème mais par comment apprendre à le masquer…

Si nous rajoutons à cela la dernière publication de l’OMS, qui déclare que plus de 50% de la population souffre de peurs et d’une forte difficulté à gérer ses émotions, générant ainsi un réel problème comportemental dans la société, cela nous conforte dans notre conviction de travailler les vrais sujets :

1. Quel type de coaching faut-il dérouler ?
2. Comment choisir son coach ?
3. Quelles compétences doit-il maîtriser ?
4. Quoi travailler, et dans quel ordre ?
5. Comment mesurer le résultat atteint par le client ?

C’est à toutes ces questions auxquelles nous avons répondu en construisant cette nouvelle méthode, plus complète et surtout plus adaptée aux besoins contemporains.